"Le 1er janvier, les travailleurs roumains et bulgares pourront dans 62 métiers qui ne trouvent pas aujourd'hui de réponse en termes d'offres d'emploi rentrer dans ces métiers", a déclaré le ministre délégué à l'Emploi lors d'une conférence de presse.
"C'est donc une ouverture maîtrisée, progressive autour des métiers en tension qui est appliquée aux nouveaux entrants", a-t-il souligné en rappelant que les mêmes conditions sont en vigueur depuis le 1er mai pour huit autres pays d'Europe centrale et orientale, dont l'adhésion à l'UE remonte à mai 2004.
Les 62 métiers dits "en tension" relèvent de sept secteurs économiques qui sont le BTP (ouvrier du béton, charpentier, carreleur, couvreur, menuisier, conducteur de travaux, etc.), l'hôtellerie et la restauration (cuisinier, serveur, etc.), l'agriculture (maraîcher-horticulteur, arboriculteur-viticulteur, éleveur de volaille, de porcs, de lapins, etc.).
On recense également la mécanique et le travail des métaux (chaudronnier-tôlier, régleur sur machine-outil, tuyauteur industriel, ajusteur-mécanicien, etc.), les industries de "process" (dans l'agroalimentaire, le verre, le papier-carton, etc.), le commerce (vente à distance, représentant à domicile, attaché commercial, etc.) et la propreté (laveur de vitres, agent d'entretien, etc.).
Parallèlement à cette ouverture du marché du travail, Paris négocie "des mesures de lutte contre le travail illégal et de contrôle de la déclaration", a précisé Gérard Larcher.
L'ouverture du marché du travail français aux ressortissants roumains et bulgares a fait l'objet d'une circulaire du ministère de l'Emploi en date du 22 décembre.
"C'est donc une ouverture maîtrisée, progressive autour des métiers en tension qui est appliquée aux nouveaux entrants", a-t-il souligné en rappelant que les mêmes conditions sont en vigueur depuis le 1er mai pour huit autres pays d'Europe centrale et orientale, dont l'adhésion à l'UE remonte à mai 2004.
Les 62 métiers dits "en tension" relèvent de sept secteurs économiques qui sont le BTP (ouvrier du béton, charpentier, carreleur, couvreur, menuisier, conducteur de travaux, etc.), l'hôtellerie et la restauration (cuisinier, serveur, etc.), l'agriculture (maraîcher-horticulteur, arboriculteur-viticulteur, éleveur de volaille, de porcs, de lapins, etc.).
On recense également la mécanique et le travail des métaux (chaudronnier-tôlier, régleur sur machine-outil, tuyauteur industriel, ajusteur-mécanicien, etc.), les industries de "process" (dans l'agroalimentaire, le verre, le papier-carton, etc.), le commerce (vente à distance, représentant à domicile, attaché commercial, etc.) et la propreté (laveur de vitres, agent d'entretien, etc.).
Parallèlement à cette ouverture du marché du travail, Paris négocie "des mesures de lutte contre le travail illégal et de contrôle de la déclaration", a précisé Gérard Larcher.
L'ouverture du marché du travail français aux ressortissants roumains et bulgares a fait l'objet d'une circulaire du ministère de l'Emploi en date du 22 décembre.