PARIS - Le juge des référés du tribunal de grande instance de Paris a débouté mardi le comité central d'entreprise (CCE) et la CFDT de SFR qui demandaient la suspension du plan d'externalisation des centres d'appel de l'opérateur de téléphonie.
La société a prévu de transférer d'ici le mois d'août environ 1.800 salariés à des sous-traitants. Un plan contesté par la CFDT et le CCE qui invoquent la violation d'un accord d'entreprise sur la gestion prévisionnelle des emplois et des compétences (GEPC) signé en octobre dernier.
L'intersyndicale a refusé lundi le protocole de fin de conflit avec la direction de la société qui proposait le report d'août à fin décembre du projet d'externalisation.
L'entreprise a toujours considéré être dans son plein droit puisque l'externalisation des personnels est liée à une question conjoncturelle, ce qui est l'une des exceptions prévues par le GEPC pour ne pas consulter les représentants du personnel.
La société a prévu de transférer d'ici le mois d'août environ 1.800 salariés à des sous-traitants. Un plan contesté par la CFDT et le CCE qui invoquent la violation d'un accord d'entreprise sur la gestion prévisionnelle des emplois et des compétences (GEPC) signé en octobre dernier.
L'intersyndicale a refusé lundi le protocole de fin de conflit avec la direction de la société qui proposait le report d'août à fin décembre du projet d'externalisation.
L'entreprise a toujours considéré être dans son plein droit puisque l'externalisation des personnels est liée à une question conjoncturelle, ce qui est l'une des exceptions prévues par le GEPC pour ne pas consulter les représentants du personnel.