
Quelque 249 salariés et une cinquantaine de "démonstrateurs" extérieurs travaillent sur ces deux sites. Seuls les premiers bénéficieront d'un reclassement, a indiqué la direction à l'AFP.
Pour le Groupe Galeries Lafayette qui a annoncé les fermetures vendredi soir, ces deux magasins étaient lourdement déficitaires.
L'annonce de cette double-fermeture a été faite en comité central d'entreprise (CCE) par la direction. "On va offrir à chacun des 249 salariés un reclassement dans le groupe" dans le cadre d'un "plan de sauvegarde de l'emploi" (PSE), selon le Groupe Galeries Lafayette qui précise que ce ne sera pas le cas de la cinquantaine de "démonstrateurs (qui) en général sont détachés par les marques" et ne sont donc pas des salariés du BHV.
Amertume des élus
Dans un communiqué, les élus s'inquiètent "d'une éventuelle baisse des rémunérations et de la baisse du niveau de vie des salariés ainsi que du sort des démonstrateurs et des démonstratrices (...) La direction du BHV fait état d'une amélioration des résultats de la société, y compris des magasins concernés, grâce aux efforts des salariés, mais ferme deux établissements auxquels 'elle ne voit aucune solution viable'", dénoncent-ils.
Pour le Groupe Galeries Lafayette, ces fermetures ont lieu "dans le cadre du plan de redressement du BHV qui était lourdement déficitaire. Malgré un redressement bien engagé -on a ouvert un (magasin) Rivoli homme (à Paris), on a de nombreux magasins bénéficiaires- ces deux magasins sont très lourdement déficitaires depuis plusieurs années".
Pour le Groupe Galeries Lafayette qui a annoncé les fermetures vendredi soir, ces deux magasins étaient lourdement déficitaires.
L'annonce de cette double-fermeture a été faite en comité central d'entreprise (CCE) par la direction. "On va offrir à chacun des 249 salariés un reclassement dans le groupe" dans le cadre d'un "plan de sauvegarde de l'emploi" (PSE), selon le Groupe Galeries Lafayette qui précise que ce ne sera pas le cas de la cinquantaine de "démonstrateurs (qui) en général sont détachés par les marques" et ne sont donc pas des salariés du BHV.
Amertume des élus
Dans un communiqué, les élus s'inquiètent "d'une éventuelle baisse des rémunérations et de la baisse du niveau de vie des salariés ainsi que du sort des démonstrateurs et des démonstratrices (...) La direction du BHV fait état d'une amélioration des résultats de la société, y compris des magasins concernés, grâce aux efforts des salariés, mais ferme deux établissements auxquels 'elle ne voit aucune solution viable'", dénoncent-ils.
Pour le Groupe Galeries Lafayette, ces fermetures ont lieu "dans le cadre du plan de redressement du BHV qui était lourdement déficitaire. Malgré un redressement bien engagé -on a ouvert un (magasin) Rivoli homme (à Paris), on a de nombreux magasins bénéficiaires- ces deux magasins sont très lourdement déficitaires depuis plusieurs années".