
La CFDT, syndicat majoritaire dans l'établissement, avait indiqué à l'AFP samedi soir qu'elle appelait à la reprise du travail lundi après avoir accepté un protocole de fin de conflit. Elle a confirmé dimanche dans un communiqué "la fin de la grève".
La CGT en revanche a refusé de signer le protocole et réfléchit à la suite à donner au mouvement. FO avait déjà appelé à la reprise du travail vendredi.
Selon Carrefour, le protocole prévoit une revalorisation des contrats de travail à temps partiel de deux à trois heures par semaine, une contribution exceptionnelle aux oeuvres sociales du Comité d'entreprise, un étalement du décompte des jours de grève et une revalorisation de la valeur faciale du ticket restaurant accordé aux employés.
Le détail chiffré de ces mesures n'a pu être obtenu auprès du groupe.
Selon la CFDT, la direction du magasin a proposé une contribution exceptionnelle au CE de 80.000 euros, contre 45.000 euros vendredi, et une hausse de 3,05 euros à 3,50 euros du ticket restaurant si le taux de démarque (vols de marchandises, casse ou produits frais déplacés par les clients, etc.) de l'hypermarché passe de 2,6% actuellement à 2,4%, un taux jugé acceptable par les salariés.
La CGT en revanche a refusé de signer le protocole et réfléchit à la suite à donner au mouvement. FO avait déjà appelé à la reprise du travail vendredi.
Selon Carrefour, le protocole prévoit une revalorisation des contrats de travail à temps partiel de deux à trois heures par semaine, une contribution exceptionnelle aux oeuvres sociales du Comité d'entreprise, un étalement du décompte des jours de grève et une revalorisation de la valeur faciale du ticket restaurant accordé aux employés.
Le détail chiffré de ces mesures n'a pu être obtenu auprès du groupe.
Selon la CFDT, la direction du magasin a proposé une contribution exceptionnelle au CE de 80.000 euros, contre 45.000 euros vendredi, et une hausse de 3,05 euros à 3,50 euros du ticket restaurant si le taux de démarque (vols de marchandises, casse ou produits frais déplacés par les clients, etc.) de l'hypermarché passe de 2,6% actuellement à 2,4%, un taux jugé acceptable par les salariés.