
Ce serpent, a expliqué la direction de cette société de 230 salariés dans un communiqué, est "un python royal de 50 cm de long, bien évidemment inoffensif", offert au président de TZF, Julien Cohen, "par une relation professionnelle" et qu'il "a installé dans un terrarium dans son bureau".
"La réunion du comité d'entreprise du 21 février s'annonçant dans une atmosphère conflictuelle, Julien Cohen a souhaité dédramatiser la situation en présentant son animal en préambule des discussions, sans minimiser l'importance des sujets qui y seraient abordés", a affirmé la direction.
"Très tendue", la secrétaire du CE, Annie Sarfati, "a pris ce geste d'humour pour une +menace+ et a quitté la salle suivie de plusieurs membres totalement acquis à sa personne", selon TZF.
D'après la CFDT, Mme Sarfati a prévenu l'inspection du travail, est allée porter plainte au commissariat et la médecine du travail lui a prescrit dix jours d'arrêt.
"J'ai été entendu par la police qui s'est bien amusée et qui ne prendra bien évidemment aucune mesure à mon égard", avait indiqué à l'AFP M. Cohen jeudi dernier, après la publication d'un communiqué de protestation de la CFDT.
"Comment qualifier l'exagération des moyens déployés par Mme Sarfati" pour "des histoires d'animaux de compagnie en entreprise?", s'est demandé mardi TZF.
Les termes "dégradants" employés par la CFDT au sujet de M. Cohen - "pitbull", "personnage pervers", "maltraitance d'animaux" -, "sont non seulement insultants et calomnieux" mais "surtout, ils visent à discréditer l'image et la compétitivité des entreprises" dirigées par ce patron, a estimé ce dernier.
"La réunion du comité d'entreprise du 21 février s'annonçant dans une atmosphère conflictuelle, Julien Cohen a souhaité dédramatiser la situation en présentant son animal en préambule des discussions, sans minimiser l'importance des sujets qui y seraient abordés", a affirmé la direction.
"Très tendue", la secrétaire du CE, Annie Sarfati, "a pris ce geste d'humour pour une +menace+ et a quitté la salle suivie de plusieurs membres totalement acquis à sa personne", selon TZF.
D'après la CFDT, Mme Sarfati a prévenu l'inspection du travail, est allée porter plainte au commissariat et la médecine du travail lui a prescrit dix jours d'arrêt.
"J'ai été entendu par la police qui s'est bien amusée et qui ne prendra bien évidemment aucune mesure à mon égard", avait indiqué à l'AFP M. Cohen jeudi dernier, après la publication d'un communiqué de protestation de la CFDT.
"Comment qualifier l'exagération des moyens déployés par Mme Sarfati" pour "des histoires d'animaux de compagnie en entreprise?", s'est demandé mardi TZF.
Les termes "dégradants" employés par la CFDT au sujet de M. Cohen - "pitbull", "personnage pervers", "maltraitance d'animaux" -, "sont non seulement insultants et calomnieux" mais "surtout, ils visent à discréditer l'image et la compétitivité des entreprises" dirigées par ce patron, a estimé ce dernier.