
Nicolas Sarkozy présente ses voeux aux partenaires sociaux, les syndicats en tête. Au milieu des petits fours se croisent une ribambelle de ministres - de Xavier Darcos à Laurent Wauquiez - ainsi que les transfuges de l'ouverture - Fadela Amara ou Martin Hirsch - et les patrons des patrons - Laurence Parisot (Medef), Jean-Marc Roubaud (CGPME). C'est avec eux, les dirigeants, que Nicolas Sarkozy s'est entretenu le plus longuement. Mais c'est avec lui, Bernard Thibault, le leader de la CGT, que le chef de l'Etat a choisi d'entamer sa tournée de poignées de mains: "Il ne faut pas que je reste trop longtemps avec vous!" a ironisé Sarkozy.
Depuis quelques mois, l'entente cordiale du duo Sarko-Thibault fait jaser: une partie de ses troupes juge le secrétaire général de la CGT trop conciliant et l'accuse d'avoir passé un deal avec le président. Le chef de l'Etat a profité de son discours pour balayer ces accusations de connivence, "des balivernes!"
Ca ne l'a pas empêché de dresser, avec insistance, l'éloge des partenaires sociaux en flattant leur "sens des responsabilités": "Au lieu de souffler sur les braises, ce qui est tellement facile, chacun a eu a coeur de trouver des solutions aux maux qui frappaient les Français, sans pour autant qu'il y ait eu coproduction."
Depuis quelques mois, l'entente cordiale du duo Sarko-Thibault fait jaser: une partie de ses troupes juge le secrétaire général de la CGT trop conciliant et l'accuse d'avoir passé un deal avec le président. Le chef de l'Etat a profité de son discours pour balayer ces accusations de connivence, "des balivernes!"
Ca ne l'a pas empêché de dresser, avec insistance, l'éloge des partenaires sociaux en flattant leur "sens des responsabilités": "Au lieu de souffler sur les braises, ce qui est tellement facile, chacun a eu a coeur de trouver des solutions aux maux qui frappaient les Français, sans pour autant qu'il y ait eu coproduction."